Chapitre 2 : le développement durable

 

A. L’accélération de la croissance au cours du XXe siècle a sérieusement entamé le stock de capital naturel

On évoquera, à l’aide d’exemples, les limites écologiques auxquelles se heurte la croissance économique (épuisement des ressources énergétiques et des réserves halieutiques, déforestation, augmentation de la concentration des gaz à effet de serre, etc.).

 

Documents du livre

 

Diminution de la biodiversité et extinction de certaines espèces animales : document 11 p 150

 

Déforestation (document 5 p 155, 1er et 3e paragraphes)

 

Epuisement des ressources énergétiques et des réserves halieutiques : doc 12 p 151+ graphique p 151 (en bas  droite)

 

Dégats occasionnés par les marées noires, par les accidents industriels (l’usine de Bhopal en Inde en 1984, de Tchernobyl en 1986, de Fukushima en 2011)

 

Hausse des émissions de gaz à effet de serre (GES) => effet de serre accru et réchauffement climatique (fonte des glaces, progression des zones arides, catastrophes climatiques destructrices…) : Documents p 146

 

Hausse de la quantité de déchets (document 5 p 155,  1er et 2e paragraphes) et des nuisances sonores

 

Pluies acides : document 1 p 147

 

page "wikipédia" consacrée à l'empreinte écologique en vous intéressant plus particulièrement à la première moitié de la section "histoire et origine du concept" : https://fr.wikipedia.org/wiki/Empreinte_%C3%A9cologique#cite_note-10

 

L'empreinte écologique est un indicateur et un mode d'évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les hommes envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature. Plus précisément, elle mesure les surfaces biologiquement productives de terres et d'eau nécessaires pour produire les ressources qu´un individu, une population ou une activité consomme et pour absorber les déchets générés, compte tenu des techniques et de la gestion des ressources en vigueur. Cette surface est exprimée en hectares globaux (hag), c´est-à-dire en hectares ayant une productivité égale à la productivité moyenne.

WWF, Rapport Planète Vivante 2008

La carte géographique est déformée en anamorphose pour représenter l’empreinte écologique des pays. La taille de chaque nation est ainsi proportionnelle à son empreinte écologique. Les couleurs, quant à elles, indiquent l’empreinte écologique des citoyens des différents pays. Cette empreinte individuelle est mesurée par le nombre d’hectares nécessaires pour assurer le niveau de consommation de chacun.

 

 

Conclusion : les principales cause de la dégradation environnementale doc 7 p 149 et doc 8 p 149 : les pays développés sont les principaux responsables de la pollution

 

B. la croissance économique et le capital naturel : des liens complexes

Doc sur les Rapa Nui

Doc 2 p 147

Documents 4 et 5 p 148

 

A. Une histoire récente

Chronologie

1988 création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Consultez le site internet de cette instance : http://www.ipcc.ch/home_languages_main_french.shtml#.UhvYKZL0GmA

Cinq ans après le premier sommet de la Terre à Rio en 1992 qui fut un échec suite au refus des Etats-Unis de participer à la mise en œuvre des propositions faites alors, du 1er au 12 décembre 1997 a lieu, à Kyoto, la troisième conférence des Nations unies sur les changements climatiques au cours duquel sortira le bien connu protocole de Kyoto...

2002 (26 août au 4 septembre) : Sommet de Johannesburg : En septembre, plus de cent chefs d'État, plusieurs dizaines de milliers de représentants gouvernementaux et d'ONG ratifient un traité prenant position sur la conservation des ressources naturelles et de la biodiversité. Quelques grandes entreprises françaises sont présentes[].

2005 : Entrée en vigueur du protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre dans l'Union européenne.

2009 : conférence de Copenhague de 2009 sur le climat

2010 : conférence de Cancún de 2010 sur le climat

2011 : Le 5 ou 12 décembre, le Canada se retire du protocole de Kyoto

2012 (20 au 22 juin) : nouveau Sommet de la Terre à Rio (Brésil) aussi appelé Rio+20 ; le terme officiel est Conférence des Nations unies sur le développement durable.

On trouve de très nombreuses chronologies des événements relatifs à l'environnement et à l'écologie sur internet.

 

B. DD, un concept patrimonial et interG

On expliquera pourquoi l’analyse économique du développement durable, qui se fonde sur la préservation des possibilités de développement pour les générations futures, s’intéresse au niveau et à l’évolution des stocks de chaque type de capital (accumulation et destruction) ainsi qu’à la question décisive du degré de substitution entre ces différents capitaux.

 

 

Définition du DD

capital naturel, physique, humain et institutionnel

 

 

COURBE DE KUZNETS

Cette approche est particulièrement optimiste et est au cœur de l'idée de soutenabilité faible. Consultez le glossaire du CEECEC, L'économie écologique de bas en haut téléchargeable à l'adresse: http://www.ceecec.net/wp-content/uploads/2010/10/GLOSSAIRE-FINAL.pdf

 

Document 7 p 156

 

Décroissance

Consultez le glossaire du CEECEC, L'économie écologique de bas en haut, article "décroissance", téléchargeable à l'adresse: http://www.ceecec.net/wp-content/uploads/2010/10/GLOSSAIRE-FINAL.pdf

Pour intéressante qu'elle est, cette perspective ne correspond pas à toutes les opinions sur le bien-être.

 

 

L’exemple de la politique climatique permettra d’analyser les instruments dont disposent les pouvoirs publics pour mener des politiques environnementales. En lien avec le programme de première sur les marchés et leurs défaillances, on montrera la complémentarité des trois types d’instruments que sont la réglementation, la taxation, les marchés de quotas d’émission.

 

A. Les dérèglements climatiques liés aux défaillances de marché

 Le Parisien, 31-10-12

 

Doc 1et 2 p. 165

 

Doc. 3 p. 165

 

B. Comment agir ?

 

Réglementation

Taxation 

On remarquera que, si les marchés laissés à eux-mêmes ne peuvent résoudre les problèmes, ils peuvent constituer un instrument d’action si le contexte institutionnel adapté est mis en place.

Institutions marchandes, droits de propriété, offre et demande, allocation des ressources,

Marché de quotas d’émission

 

La vidéo

http://www.canal-educatif.fr/videos/economie/5/marchepollution/un-marche-pour-depolluer.html

 

I. Les coulisses d’une décision

a) Kyoto : un plafond pour les émissions

1) Qu’est-ce que le protocole de Kyoto ? Combien de pays l’ont signé ?

2) Quel est l’objectif à atteindre ?

b) Un choix délicat

3) Quelles sont les solutions envisageables pour l’atteindre ?

4) Quels sont les avantages et les inconvénients de la fixation d’une norme ?

5) Quels sont les avantages et les inconvénients d’une taxe ?

c) Le choix du marché

6) Pourquoi le marché va-t-il être préféré aux deux autres solutions ?

7) En quoi consiste le Mécanisme de DP

d) L’exemple de Lafarge (cimentier)

8) Comment les entreprises réagissent-elles à la mise en place de ce marché ?

 

II. Le jeu du marché

a) Les 1ers  espoirs

1) De quoi résulte le prix des titres ?

2) Sur quels aspects

3) Comment s’appelle le marché (et le système informatique) sur lequel s’échange les permis négociables d’émission ?

4) Comment la météo influe-t-elle sur le prix du titre ?

 

b) Les espoirs déçus

5) Que s’est-il passé en 2008 ?

6) Qu’est-ce qu’un marché à terme ?

Pourquoi est-ce important pour les entreprises de disposer d’un tel marché ?

 

Doc. 4 p.178 +

 

c) Des business verts

 

III. Est-ce la solution finale ?

a) la maturité

1) Pourquoi est-ce important que le prix reste relativement élevé et qu’il ne retombe pas comme en 2008 ?

b) l’équité

2) En quoi le marché tel qu’il fonctionne aujourd’hui pose trois problèmes d’équité ?

 

Synthèse

 

 

 

 

AVANTAGES

INCONVENIENTS

Norme (réglementation)

 

 

Taxe (pollueur-payeur)

 

 

Marché

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :